Les Frères Diarra
Salif, Ali et Samba ont hérité de la musique comme un patrimoine culturel. Auteurs, compositeurs, interprètes mais aussi ébénistes, ces descendants de griots fabriquent eux-même leurs balafons, koras et n'gonis.
Le griot est celui qui a le devoir et le pouvoir de transmettre la parole des anciens et les messages du quotidien par la musique. C'est donc dans cet état d'esprit que les freres Diarra ont créé l'association Faso Lili (Les racines du pays). Toujours dans cette idée de transmission et d'éducation des plus jeunes, cette association a pour but de former des enfants à la musique et à la construction d'instruments.
Les frères Diarra ont grandi aux sons des rythmes traditionnels Bwabas, Mandingues, Sénoufous... Ils exportent ces musiques traditionnelles partout dans le monde, que ce soit en famille ou avec l'artiste Victor Démé, qu'ils accompagnent sur scène.
Nous n'avons pas eu l'opportunité de rencontrer Samba qui était de séjour en France. C'est donc en compagnie de ses deux frères que nous avons découvert ce groupe. Ali est sans doute le musicien le plus jovial qu'on ait eu l'occasion de rencontrer. Il affiche constamment un large sourire et son humour est à toutes épreuves. Salif est un accro de musique, un vrai ! Il a toujours à la main un enregistreur portable et ceci même au guidon d'un scooter dans les rues poussiéreuses et bondées de Ouaga.
A la terrasse d'un maquis, nous avons été envoûtés par leurs histoires et contes de griots ainsi que leurs passions pour la musique. Mais c'est en les écoutant jouer qu'on a été le plus bluffé : d'une précision exemplaire, leurs musiques et leurs voix sont captivantes voire magiques... De la technique dans les mains et du sacré dans les voix. Toujours disponibles et chaleureux, ils ont été nos principaux hôtes et guides dans notre passionnante aventure et sont devenus de très bons amis.
Le griot est celui qui a le devoir et le pouvoir de transmettre la parole des anciens et les messages du quotidien par la musique. C'est donc dans cet état d'esprit que les freres Diarra ont créé l'association Faso Lili (Les racines du pays). Toujours dans cette idée de transmission et d'éducation des plus jeunes, cette association a pour but de former des enfants à la musique et à la construction d'instruments.
Les frères Diarra ont grandi aux sons des rythmes traditionnels Bwabas, Mandingues, Sénoufous... Ils exportent ces musiques traditionnelles partout dans le monde, que ce soit en famille ou avec l'artiste Victor Démé, qu'ils accompagnent sur scène.
Nous n'avons pas eu l'opportunité de rencontrer Samba qui était de séjour en France. C'est donc en compagnie de ses deux frères que nous avons découvert ce groupe. Ali est sans doute le musicien le plus jovial qu'on ait eu l'occasion de rencontrer. Il affiche constamment un large sourire et son humour est à toutes épreuves. Salif est un accro de musique, un vrai ! Il a toujours à la main un enregistreur portable et ceci même au guidon d'un scooter dans les rues poussiéreuses et bondées de Ouaga.
A la terrasse d'un maquis, nous avons été envoûtés par leurs histoires et contes de griots ainsi que leurs passions pour la musique. Mais c'est en les écoutant jouer qu'on a été le plus bluffé : d'une précision exemplaire, leurs musiques et leurs voix sont captivantes voire magiques... De la technique dans les mains et du sacré dans les voix. Toujours disponibles et chaleureux, ils ont été nos principaux hôtes et guides dans notre passionnante aventure et sont devenus de très bons amis.